Declaration
Pauvre de moi, tu n’es pas libre, tu n’es pas seule,
Mon dévolu se jette à peine, et c’est déjà le deuil,
Je ne peux pourtant renoncer à ton âme qui m’appelle,
Ce quelque chose en toi qui se dégage, qui m’interpelle.
Je me noie dans des torrents d’illusions, de fantasmes,
Des filles qui m’attirent, rien que des fantômes qui passent,
Et en chacune d’elles, je tente de trouver,
Ce qu’en un simple regard, tu as su m’apporter.
Même si cela te semble insensé, irrationnel,
C’est avec toi que je vis lors de mes sommeils,
Mes nuits ne sont faîtes que de ton visage,
Survient mes réveils, c’est soudain l’orage.
Pour te conquérir, je suis prêt à relever tous les défis,
Ceux que tu dresses, ceux que m’imposent la vie,
A l’image d’Hercule, je franchirai tous les obstacles,
Pour finir dans tes bras, et croire enfin au miracle.
Le 17 Juillet 2001
Touts droits reservés à Régis Rossi
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